Le personnel infirmier peut : en collaboration étroite avec le médecin traitant, veiller au contrôle des symptômes : douleur, anxiété, difficultés respiratoires.
Est-ce normal de perdre ses cheveux?Ainsi commença un suivi qui dura un peu plus dun.Loin d'un récit à visée clinique, les mots frappent fort parfois et servent sans complaisance un témoignage vécu et cathartique où la réalité s'affiche toujours plus cruelle au fil des pages.Pascale Etchecopar est illustratrice et artiste plasticienne.Là encore, malheureusement, notre entourage interprète souvent mal notre souffrance, juge notre chagrin et nous echange camping car contre voiture et caravane encourage à le réprimer, renforçant par là-même notre crainte.Ce comportement dévitement incluait même le retrait face à ses enfants et à une partie de sa famille.Elles suscitent en nous des émotions que nous aimerions mieux ne jamais connaître. .Petit paysan breton, il sétait engagé en 1945, à 20 ans.Un voyage plus court certes.Plus nous sommes frustrés, plus nos besoins sont importants, plus nous sommes contraints de mendier.Ovsanna en avait-elle entendu parler?Et nous-mêmes, savons-nous apprivoiser notre propre mort?Il oublierait ma complicité et celle de nos enfants si je mengageais à quitter le pays dès annonce sexe nimes sa libération.Elle nétait pas abandonnée.Cest une durée assez confortable.Quel était limpact de la guerre du Haut-Karabagh sur sa vie en Arménie?
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